Le désespoir c'est pas la gloire (libre)

Sur une pierre plate, Giste dessiner le lac. D'un geste fluide telle l'eau, il fessait glisser un morceau de corail sorti de nul pare, sur une pierre d'un gris argenter. Peut à peut un paysage pris forme. D'abord une rive avec des arbres de toute taille, des buissons, et des pierres. Puis
un lac aux reflets scintillants. Au centre de se lac se trouver un îlot. Un îlot de sable.
-Hébé! Pas mal du tout. Je suis épater par moi même. Sans me venter suis un as! La ressemblance est parfaite!... Heu, non. Il manque sa.
S'exclama Giste, admirant son chef d'oeuvre. Il fronça les sourcils et rectifia quelque trais.
-Ba voila! Comme sa c'est mieux! Pff. Je désespère. J'en n'ai marre d'écrire de dessiné de peindre. Ya rien d'autre à faire?
À ces mots il s'allongea, et regarda le ciel. Une douce brise soufflait, portant les nuages blancs vers l'est. Un bruissement se fis entendre dans les buissons, mais le jeune humain n'y prêta pas attention.

Crystal s'était levé au aurore, quelques rayons filtraient par la fenêtre. Elle avait passé la nuit en compagnie de son amie et du compositeur mais elle n'avait pas fermé l'oeil. Et oui, La jeune fille était claustrophobe et le fait d'être trois dans une même pièce l'avait tellement angoissé que le sommeil n'était pas venu donc dès que le soleil avait glissé quelques rayons dans la pièce elle s'était levée, dirigé vers la salle d'eau et s'était préparé. La jeune fille prit un morceau de papier et écrivit qu'elle partait en balade derrière le château après avoir accompli les tâches habituelles puis elle sortit discrètement de la pièce pour ne pas déranger les deux jeunes gens dans la pièce qui dormaient à point fermé, évidemment un guerrier l'accompagna à son plus grand mécontentement mais elle lui avait finalement échappé après s'être occupée des patrouilles, de la chasse ... Et puis, vu qu'elle n'avait plus rien à faire, elle partit en balade. Pensant que son Alpha ne va pas être très contente en apprenant que sa lieutenante est partie sans surveillante pour une promenade. La jeune fille n'alla pas bien loin au cas où il y aurait un problème, ses pas la dirigèrent vers le lac. Elle pensait avec ravissement cas cette heure, le lac devait être magnifique surtout au lever du soleil.

Elle arriva aux abords du lac peu de temps après. La brise lui apporta une odeur qu'elle connaissait bien pour sur s'était un membre de la Meute mais qui ? Elle se faufila entre deux buissons et ce qu'elle vit lui coupa le souffle. Elle était souvent venue mais à chaque fois ce spectacle lui coupait le souffle. La surface de l'eau scintillait comme si des milliers de paillettes d'argents avaient été déposées à sa surface, d'un bleu azuré, des pétales de cerisiers glissaient calmement et au centre de ce tableau se tenait un cerisier aux couleurs chatoyante sur un petit îlot. Fait étrange, le cerisier était toute l'année en fleur ce qui donnait beaucoup de charme à cet endroit. Soudain elle se souvient qu'elle n'était pas seule. Un jeune garçon était là devant une pierre plate et dessinait *C'est vrai que cet endroit donne envie de dessiner* Elle s'approcha doucement et regarda par-dessus son épaule. Il avait reproduit avec beaucoup de talent le fabuleux tableau, s'était presque la copie conforme du lac, elle l'interpella enfin le reconnaissant :

Crystal : "tu sais que tu as beaucoup de talent Giste, on reconnait parfaitement l'endroit dommage que tu ne puisses pas l'emporter au château, il aurait peut-être pu être exposé.

Il était allongé et regardait le ciel d'un air songeur :

Crystal : tu es songeur, quelque chose ne va pas ?

Une vois fini par retentir. C'était celle de Crystal apparemment. À ses première parole il ne tourna pas la tête. Aux deuxième le jeune garçon s'assit et la dévisagea.
-Ba oui. J'aime bien peindre la nature autant que j'aime l'écrire. Mais, je ne sait plus quoi faire. Essaie de faire volait en silence une chouette lapone à qui on à arrachait le peigne. Essaie de faire courir un jaguar en lui coupant deux pattes. Ils ne pourrons pas. Moi c'est comme eux. Tu aura bon me donnait les plus beaux paysages, sans un point de départ je ne peut pas dessiné l'arriver. C'est comme le soleil et la lune. Tout au nord il y à le soleil de minuit, les deux astres sont complètement perturbé, et moi je suis comme eux. Je crois que j'ai envi d'apprendre. J'ai envi de savoir. J'ai envie que sur mes oeuvres se trouve
des paysage que l'on n'a pas encore vus, j'ai envie de savoir se qui entour la forêt de l'aube. Le monde, c'est quoi?
Dans les yeux gris de Giste se refléter l'envie de connaître. Il était près à tout pour devenir plus qu'il ne l'ai. Il était près à tout pour savoir se que le monde était.

Crystal attendit la réponse du jeune garçon qui finit par se retourner et la dévisager :

Giste : "Bah oui. J'aime bien peindre la nature autant que j'aime l'écrire. Mais, je ne sais plus quoi faire. Essaie de faire volait en silence une chouette lapone à qui on a arrachait le peigne. Essaie de faire courir un jaguar en lui coupant deux pattes. Ils ne pourront pas. Moi c'est comme eux. Tu auras bon me donnait les plus beaux paysages, sans un point de départ je ne peux pas dessiné l'arriver. C'est comme le soleil et la lune. Tout au nord il y a le soleil de minuit, les deux astres sont complètement perturbé et moi je suis comme eux. Je crois que j'ai envie d'apprendre. J'ai envie de savoir. J'ai envie que sur mes œuvres se trouve des paysages que l'on n'a pas encore vus, j'ai envie de savoir ce qui entour la forêt de l'aube. Le monde, c'est quoi ?"

Crystal réfléchit quelques instants, certes elle n'a pas toujours vécu dans la Meute mais elle n'avait que peu de souvenir de sa vie antérieure surtout qu'il n'y avait que de la forêt là où elle est allée. Finalement elle répondit :

Crystal : je ne suis pas vraiment la bonne personne pour poser ses questions. Tu devrais parler avec les anciens peut être en seront-ils plus que moi qui ne se souvient que de la forêt d'ailleurs je ne pense pas l'avoir quitté. Sinon tu peux attendre un solitaire, lui il sera te parler du monde extérieur et si tu n'as pas la force d'attendre, tu peux demander l'autorisation à Plume pour te rendre au village mais accompagné. C'est tout ce que je peux te donner comme conseil.


La jeune fille avait les yeux perdus dans le vague essayant de se rappeler sa vie avant que ses parents adoptifs l'adoptent. Elle se souvient juste d'une petite maison fleurit perdu dans une prairie verdoyant.

Les yeux perdu dans la brouillard, l'âme perdu sous la mer, le coeur perturbé par les flammes. C'est la seule chose que Giste pouvait savoir. D'ailleurs le jeune garçon n'avait jamais vus la mer. On lui avait juste dit que c'était un lac salé qui s'étendait à l'infini.
-Finalement! Nous ne savons rien! Nous somme comme des aveugles. Et toi, tu fais quoi pour te soulagé des sanglots, et conservait les rage!? Moi je fais des ricochait, ou parfois je peint mes sentiment. Je dessine mes rêve, ou le son de l'eau. On peut tout dessiné. L'imagination peut tout réalisé. Tout simplement parse que se qui conte, c'est pas se que l'on voie, c'est aussi se que l'on croie. C'est ce que je me dit, quand je veut voir le monde.
À ses mots il se leva, puis pris une pierre plate qu'il glissa dans sa sacoche.

Crystal fut surprise par la réponse du garçon :


Giste : "Finalement! Nous ne savons rien! Nous sommes comme des aveugles. Et toi, tu fais quoi pour te soulager des sanglots et conservait les rage!? Moi je fais des ricochait, ou parfois je peins mes sentiments. Je dessine mes rêves, ou le son de l'eau. On peut tout dessiné. L'imagination peut tout réalisé. Tout simplement parce que ce qui compte, ce n'est pas ce que l'on voit, c'est aussi ce que l'on croie. C'est ce que je me dis, quand je veux voir le monde."

*Malgré son jeune âge il a déjà l'âme d'un philosophe* pensa-t-elle avec un sourire mystérieux. Elle lui répondit :

Crystal : "Tu as raison nous ne savons rien ou presque. Hum ... pour me soulager de ma tristesse, de mes rancoeurs, je fais autres choses, je cours sans penser à rien ou alors tout simplement j'essaye de rendre heureux les gens qui m'entourent car cela me redonne du courage . Oui tu as raison l'imagination peut faire beaucoup de choses mais il faut veiller à ne pas confondre ce que tu imagines avec la réalité car sinon tu risques de l'oublier et faire du mal. Le seul paysage qui mais vraiment marqués c'est celui de mon enfance.


Elle se remémora cette maison qu'elle a quitté s'y jeune ne se rappelant pas avant, elle reprit la parole, les yeux fermés :


Crystal : une vaste prairie s'étant à perte de vu, tout est vert et fleurie. Le soleil brille fort et dans le vallon une petite maison. La maison est en pierre blanche et partout il n'y a que des fleurs, rouge, jaune, orange ... la porte est entrouverte et aux fenêtres sont accrochées là aussi des pots contenant des fleurs. Une femme est là en train d'entretenir ses plantes, ses cheveux longs et blond comme les blés sont tressés, elle est habillée d'une robe modeste mais elle a des allures de princesse ...


Elle rouvrit subitement les yeux :

Crystal : Voilà se dont je me souviens de mon enfance, je ne connais même pas le nom de mes parents ... Et toi qu'elle est le paysage qui t'a le plus marqué ?

Elle contempla l'île, un endroit bien romantique. Elle repensa au plan qu'elle avait trafiqué avec Plume et ria sous cape, un vrai plan machiavélique.

Le paysage que crystal avait décrit donné bien envie. Pourtant la question qu'elle lui avait posé, était entraînante. Il chercha tout au fond de sa mémoire, et se souvint alors d'un lumière pâle sur un paysage d'argent. Dans c'est yeux gris profond, on pouvait retrouver ce paysage.
-Je ne sait plus ou c'était. Le ciel était consteller d'étoiles d'ors et d'argents. C'était dans une clairière à l'herbes douce, soyeuse, une douce brise chassait le peut de nuages blancs, et sur la rosé perlant sur les plante, se refléter le douve lumière de la lune. Au centre un y avait un grand arbre. On aurait dit qu'il était attiré par la lune, ou alors que sur ses branches elle ce reposait. Les grillons était discret, les lézard n'allait pas à la chasse aux papillons. Seule cette arbre, le vent et la lune se montrait...
Sur ce il souri et demanda à sa lieutenant.
- Tu vas me prendre pour un fou. Mais... Tu ne tes jamais dit que la pierre était sensible, que la plume était puissante, que le vent était inoffensif, que le grain de sable peut tout détruire, que l'amour était plus dangereux que la rage, ou encore que le nuage était plus vivant que nous? Tu ne tais jamais dit que nous somme des monstre dans un paradis? Peut être que la lune nous fuit, que le soleil nous crains... Si sa se trouve on est mort. C'est le genre de question qui me harcèle depuis un millénaire.
Giste pris la pierre qu'il avait déposer un peut au paravent, dans la sacoche et la regarda un court instant, puis il la remis et repris le parole.
-À ton avis... Si on est fou... On fini avec un poignard dans le ventre? On assommer avec un rocher?... Ou alors si on est compositeur... crocher à son piano!
Le jeune enfant avait toujours trouver que le piano était pas un instrument super. Dur à trimballé... Il préférer le son du violon, ou la beauté de la flûte traversière!
-Un jour... Tu pense que je serait grand? Que je saurais sorti de cette période ou la vie devient néant? Même si j'ai atein la possibilité de différencié plusieurs type de pierres, de fourmis...De personnes; je fais toujours la taille du insecte, et on ne fais jamais attention aux... Insectes.
Giste était assez casse pied avec cette histoire de "on fais pas gaffe à moi!" Mais au final c'était pas faux.

Crystal pensait toujours au plan qu'elle avait inventé avec son amie quand Giste prit la parole:

Giste : je ne sais plus ou c'était. Le ciel était consteller d'étoiles d'ors et d'argents. C'était dans une clairière à l'herbe douce, soyeuse, une douce brise chassait le peu de nuages blancs et sur la rosée perlant sur les plantes, se refléter le douve lumière de la lune. Au centre un y avait un grand arbre. On aurait dit qu'il était attiré par la lune, ou alors que sur ses branches elle se reposait. Les grillons étaient discrets, les lézards n'allait pas à la chasse aux papillons. Seule cet arbre, le vent et la lune se montrait...

Il lui sourit et lui demanda :

Giste : tu vas me prendre pour un fou. Mais... Tu ne t'es jamais dit que la pierre était sensible, que la plume était puissante, que le vent était inoffensif, que le grain de sable peut tout détruire, que l'amour était plus dangereux que la rage, ou encore que le nuage était plus vivant que nous? Tu ne tais jamais dit que nous sommes des monstre dans un paradis? Peut être que la lune nous fuit, que le soleil nous crains... Si ça se trouve on est mort. C'est le genre de question qui me harcèle depuis un millénaire. Un jour... Tu penses que je serais grand? Que je saurais sorti de cette période ou la vie devient néant? Même si j'ai atteint la possibilité de différencié plusieurs types de pierres, de fourmis...De personnes; je fais toujours la taille d'un insecte et on ne fait jamais attention aux... Insectes.

La jeune fille réfléchit un moment à sa question avant de répondre :

Crystal : tu sais, je ne prends rarement les gens pour des fous, je pense juste qu'ils ont un point de vue différent du mieux alors j'essaye de comprendre leur façon de penser et la tienne est plutôt exacte, chaque chose en ce monde à sa place et un rôle à jouer sinon il n'existerait pas mais je ne comprend pas pourquoi tu penses que nous sommes morts et que la lune nous fuit ou le soleil nous craint, c'est vrai que nous ne faisons pas toujours attention au monde qui nous entoure mais tant que cela ne va pas trop loin il n'y aura pas de problème en tout cas moi je m'interposerais et je dirais ma façon de penser que sa plaise ou non. Oui, je pense que tu deviendras grand et que tu trouveras ta place ici ou ailleurs et tu as encore raison on ne fait pas forcément attention aux insectes mais parfois on ne peut l'éviter car forcément nous sommes plus lourds qu'eux et nous ne les voyons pas forcément mais par contre si une personne martyrise une de ces petites bêtes pour le plaisir là il risque d'entendre parler de moi. J'ai une question à te poser mais ne te vexe pas, pourquoi n'es-tu pas avec des personnes de ton âge ? Vu que tu as l'air respectueux de la nature et que les plus jeunes le sont moins tu pourrais leur expliquer ainsi ils éviteront de devenir comme les humains avant.

Crystal replongea dans ses souvenirs, la forêt, ses parents adoptifs lui avaient toujours expliqué qu'il fallait respecter la nature qui nous entoure et elle l'avait toujours fait. Maintenant quand une personne ne fait pas attention elle ne peut s'empêcher de le reprendre. Elle connaissait plein de plantes et leurs vertu, les différents animaux, insectes ... Oui elle avait appris beaucoup de choses. La jeune fille s'assit au bord de l'eau et regarda les poissons passés, ils savaient qu'elle ne leur ferait rien et restait là impassible. Le soleil de midi se reflétant dans leurs écailles.

Crystal : Que dis tu d'allez soit chassé, soit allé cueillir des fruits un peu plus loin ?

Le jeune enfant écouta les réponse de crystal, et ne pu s'empêcher de lui faire par de son idée.
-Crystal... Je ne suis pas comme les autres, l'agilité et la souplesse que j'ai obtenue, ne me donne pas envie de la prouver... elle... Elle me fait peur. C'est pour sa que je suis fou. J'ai peur de devenir... J'ai peur de m'écarter de mon monde, mourir dans mon propre cor, finir en lambeaux. J'ai peur que mon monde soit détruit. Il est très fragile. Dans mon monde les pierres son fébrile et les plumes son coriaces, les vent les plus violent ne ferons rien, mais un grain de sable... C'est comme une balance détraqué. Je ne ferme plus l'oeil de la nuit. La lune nous fuit, car sa couleur pâli de plus en plus. Le soleil nous crains car sa lumière devint triste. Ma place... On n'a pas de place. On est serais dans se monde. Le mien est plus vaste. Essai un jour, trouve se qui te passionne le plus et crée un monde autour... Je ne peut pas leur expliqué, il ne comprendront pas. J'ai l'impression que les arbres soufre et que la nuit est sans fin. J'ai peur Crystal!
Effectivement. Giste ne semblait pas très rassurer. Il se laissa tombé sur les cailloux, les yeux dans la vague.

Crystal attendit la réponse de Giste qui ne tarda pas :

Giste : Crystal... Je ne suis pas comme les autres, l'agilité et la souplesse que j'ai obtenue, ne me donne pas envie de la prouver... elle... Elle me fait peur. C'est pour ça que je suis fou. J'ai peur de devenir... J'ai peur de m'écarter de mon monde, mourir dans mon propre corps, finir en lambeaux. J'ai peur que mon monde soit détruit. Il est très fragile. Dans mon monde les pierres sont fébriles et les plumes sont coriaces, les vents les plus violents ne feront rien, mais un grain de sable... C'est comme une balance détraquée. Je ne ferme plus l'oeil de la nuit. La lune nous fuit, car sa couleur pâli de plus en plus. Le soleil nous craint car sa lumière devint triste. Ma place... On n'a pas de place. On est serait dans ce monde. Le mien est plus vaste. Essai un jour, trouve ce qui te passionne le plus et crée un monde autour... Je ne peux pas leur expliquer, il ne comprendront pas. J'ai l'impression que les arbres soufre et que la nuit est sans fin. J'ai peur Crystal !

Effectivement il ne semblait pas du tout rassurer et se laissa glisser au sol, les yeux perdus dans le vague affrontant ses démons. La jeune lieutenante ne savait pas vraiment quoi faire, un souvenir flottait à la frontière de sa mémoire, un souvenir oublié, effacé qui se ranimait une douce chanson, une voix réconfortante, elle s'approcha du jeune garçon et le prit entre ses bras le berçant calmement en lui murmurant :

Crystal : tu sais, c'est plutôt une qualité d'être souple et agile, il ne faut pas en avoir peur, c'est un avantage. Ton monde ne sera jamais détruit qu'il soit fragile ou non tant que tu gardes espoirs, il va peut-être changer mais il sera toujours ce qu'il a été. S'il change c'est que ta manière de voir le monde a changé. La lune ne nous fuit pas, elle disparaît mais renaît encore plus belle que la fois précédente, le soleil ne nous craint pas, sa lumière pâlit mais s'est pour nous éblouir la prochaine fois , tout à un commencement et une fin mais à chaque fois qu'une chose meurt, elle en ait remplacé par une autre et c'est cela qui est merveilleux dans notre monde. Tu ne peux finir d'apprendre. Mon monde est déjà bâti autour d'une chose, je veux voir les gens qui m'entourent sourire, rire, profité de leur vie malgré leurs problèmes car chacun à ses démons à combattre même moi. Si tu as réussi à me faire comprendre ce que tu ressens, tu seras capable de l'expliquer à d'autre et puis si tu n'y arrives pas je serai là. Quand tu as peur il ne faut pas hésiter à en parler, il ne faut pas vivre dans cette peur car sinon c'est là où on se perd dans son corps on devient l'ombre de soi-même. C'est comme sombré dans la tristesse. Les arbres ne souffrent pas, quand tu les vois se balancer c'est qu'ils transmettent un message à quelqu'un, il ne souffre que si on leur fait du mal sinon ils vivent paisiblement et la nuit est longue mais c'est pour avoir plus de joie quand le jour se lève. Il ne faut pas avoir peur.

La chanson dans sa tête était forte et douce à la fois, Crystal sortit sa flûte et enleva ses bras du jeune garçon et commença à jouer. Oui, elle connaissait ce morceau mais où l'avait elle entendue. Elle l'accompagna, cette musique douce et réconfortante. Sa mémoire lui revenait, oui, une pièce peu éclairé, un visage féminin au-dessus d'elle qui la berçait tendrement, mais la peur, cette peur tenace, il fait nuit et les ombres prennent vie mais ce visage la réconforte. Oui maintenant elle n'a plus peur car elle n'est plus seule et ses ombres ne peuvent pas la toucher.

Crystal avait réson, au fond ce n'était que des hallucinations. Giste regarda autour de lui... Il ce sentait mal alaise. On ne lui avait jamais donné de l'affection. Le jeune garçon ferma les yeux et fini sa toile. Elle représentait un lac, aux sur le quelle ce refléter la douce lumière de étoiles. Sur la premier rive il y avait des arbres. Des arbre couvert de blessures, des arbres en tenue de bataille, des arbre qui tenait dans leur branches, des torches enflammé. Il y avait aussi des pierres plates. Elles aussi avait des crevasse et certaine était brisé. Au lieux du sans qui coulais de leur blessures c'était du sable. À gauche on pouvait voir de loups, des chats, des humains, ils était tous chassé par des hommes armé de la tête aux pieds. Des visage crispés, brûler, en larmes, il y avait toute les émotions, sur chaque visage une différente. Sur l'autre rive il y avait juste une bande de terre avec rien dessus. Dans son imagination, le jeune écrivain éffassa cette rive.
*La mer... C'est peut être sa! Une étendu d'eau infini!*
Il admira quelque seconde puis sorti de sa sacoche son calepin ou il reproduit son tableau.
Puis Crystal sorti sa flûte et entama une musique, au couleur vive et douce en même temps. C'était une très belle musique, à la mélodie envoûtante. Quand elle eu fini il lui dit.
-Tu joue très bien. Cette mélodie est particulièrement agréable. À oui, et j'y ait réfléchi. Ce qui doit nous effrayer ce n'est pas que nous devenons comme les humains d'avant. Ce qui doit nous effrayé c'est les humains d'après. Car le passé c'est fini. Seul le futur peut désormais triomphé sur nos choix. À oui et tu joue très bien. Cette mélodie est drôlement agréable... Et je pourrais... Apprendre?
Dans les yeux gris de Giste on pouvais discerné ces paroles.
"Tu veut bien?"

Crystal finit son morceau et regarda ce que Giste avait dessiné. Un paysage triste, un lac où se reflétait des milliers de petites lumières scintillante. Sur une des rive il y avait des arbres mais des arbres couverts d'entailles, des arbres dessinés comme s'ils partaient en guerre. Il y avait aussi des pierres plates mais couvertes de bosses et de crevasse, certaines étaient brisées. À gauche on pouvait voir de loups, des chats, des humains, ils étaient tous chassé par des hommes armé de la tête aux pieds. Les visages étaient crispés, brûler, en larmes, chaque visage était différent et reflétait une émotion. Sur l'autre rive il y avait juste une bande de terre avec rien dessus, immense et vide, triste, abandonné. Le garçon prit la parole :


Giste : tu joues très bien. Cette mélodie est particulièrement agréable. À oui et j'y ai réfléchi. Ce qui doit nous effrayer ce n'est pas que nous devenions comme les humains d'avant. Ce qui doit nous effrayer c'est les humains d'après. Car le passé c'est fini. Seul le futur peut désormais triompher sur nos choix. À oui et tu joues très bien. Cette mélodie est drôlement agréable... Et je pourrais... Apprendre?

A son regard on voyait qu'il était sincère et qu'il avait vraiment soif d'apprendre


Giste : "Tu veux bien?"

La lieutenante repensa à son tableau et à sa mélodie. *Peut être que si je lui faisais voir le monde d'un autre point de vue, il serait moins renfermé * Elle sourit et lui répondit :

Crystal : "Evidemment que je veux bien. C'est vrai, ce qui nous fait peur c'est de ne pas savoir mais si on vit dans la peur on passe à côté de choses essentielles comme la confiance. Pour ne pas devenir des personnes immondes qui perdent la raison il suffit de faire attention de donner sa confiance à des personnes qui vous font confiance qui vous reprennent si on se perd. Sans confiance, on se perd, on se laisse aller, il faut se fixer des buts pour avoir une raison de vivre. Veux-tu que je t'apprenne à en fabriquer une ? Mais comme ça prendra du temps tu pourras toujours utiliser la mienne, d'accord ?

Et oui, Crystal avait elle-même fabriqué sa flûte, cela lui avait prit pas mal de temps mais elle en était fière. Elle avait dû recommencer une dizaine de fois et avait commencé à perdre espoir mais elle avait tenu bon et maintenant elle ne pouvait plus la quitter mais au moins ses efforts avaient payé et elle se souvenait de la manière de faire. Elle regarda autour d'elle et trouva ce qu'il lui fallait, elle avait le choix, soit du lilas, soit du cerisier mais pour celui-ci il faudra faire une petite baignade.

Giste ne pu cacher son soulagement. Cela fessait un bout de temps qu'il avait cette idée en tête, mais trop timide, il n'avait jamais ausé demender. Le ciel se tainta des couleurs de midi. Jamais il n'avait était aussi content.
-Oui sa me plairai beaucoup, merci. Et toi tu à apprit où à joué de la flûte? Je connais une histoire, ma mère me la raconté, pendant que mon père joué... Un instrument mais je ne sais pas quoi. Si je me rappelle les parle c'est sa:
Du fond de ma mémoire je vais vous raconter.
L'histoire d'un vieux coyote, servant de chien de berger.
Il était vieux et sa sagesse pas mieux,
Alors le soir sous le feu on l'écoutais chanter!
Il était grand et fort malgré son âge,
Et sa réputation en était égale!
Mais un soir la fatigue vint à bout de lui,
Sa patte blessée le fessait souffrir.
Alors son vieux maître lui dit d'un tout déçu.
Mon ami de toujours je ne sais que faire.
Et le soir ou le coyote mourut,
Son maître le berger se tua à coup de massue.

Cette histoire me rend toujours triste. Peut être que les hommes on était ravagé par leur cruauté, mais... Peut être que l'on vaut pas beaucoup mieux! ... Ra! Je repart sur shakespeare! Je vais ma taire sa vas moins me porter malheur!
Son visage était fendu par un grand sourire qui lui ressemblé bien.

Le soulagement de Giste n'échappa pas à Crystal qui sourit, contente d'avoir fait un heureux. Le soleil de midi la réchauffait de ses rayons bienfaisant et la brise lui caressait le visage faisant voler ses cheveux en tous sens, Giste reprit la parole :

Giste :oui sa me plairai beaucoup, merci. Et toi tu as appris où à jouer de la flûte? Je connais une histoire, ma mère me l'a raconté, pendant que mon père joué... Un instrument mais je ne sais pas quoi. Si je me rappelle les paroles c'est ça:

Du fond de ma mémoire je vais vous raconter. L'histoire d'un vieux coyote, servant de chien de berger. Il était vieux et sa sagesse pas mieux, Alors le soir sous le feu on l'écoutait chanter! Il était grand et fort malgré son âge et sa réputation en était égale! Mais un soir la fatigue vint à bout de lui, Sa patte blessée le fessait souffrir. Alors son vieux maître lui dit d'un tout déçu. Mon ami de toujours je ne sais que faire. Et le soir ou le coyote mourut, Son maître le berger se tua à coup de massue.


Cette histoire me rend toujours triste. Peut être que les hommes ont été ravagés par leur cruauté, mais... Peut être que l'on ne vaut pas beaucoup mieux! ... Ra! Je repars sur shakespeare! Je vais me taire ça va moins me porter malheur!

La jeune fille était émue par cette histoire, elle répondit :

Crystal : les hommes ont été ravagés par leur cruauté c'est vrai mais je pense que l'on vaut mieux sinon nous ne serions pas ici aujourd'hui mais ... Je pense aussi qu'il faut faire attention à ne pas commettre les mêmes erreurs que par le passé.

Son ventre se mit à grogner son mécontentement n'ayant pas eu à manger depuis l'aurore, la lieutenante essaya de calmer son fou rire mais finit quand même par rire. Elle demanda :

Crystal :" Ca te dirait d'aller manger un morceau ?"

Le soleil était effectivement haut dans le ciel. Le château, cacher par quelque arbres, exposer toute sa splendeur au soleil. Les hirondelle partaient déjà en direction des pays chauds.
*De la mer...*
Giste regretta amèrement de ne pas pouvoir devenir un oiseau. Mais son estomac, le coupa dans ses réflexion.
-Bonne idée! Mon estomac ne passe pas inaperçu lui non plus!
Puis le jeune garçon ce retourna pour trouver quelque chose. Après quelque pas, Giste dérapa dans une petite combe et atterri sur le dos.
*Une mini combe...*
Son regard fus attiré par un élément vert.
*Tien de la mousse! Hein? Mais...
Un bout de mousse avait était arraché, laissant à vue, la roche lisse. En s'approchant de plus près, le jeune garçon découvrit que sur cette pierre reposer des gravures. Un arbre y était dessiné, avec devant deux personnes.
*On ne peut jamais oublié son passé, car dans le présent, beaucoup on était affecter du passé. Si on l'oublié, tout recommencerais. Ce dessin de ma vie d'avant, sans ce dessin je ne serais pas tombé, comme quoi! Le passé affecte toujours le présent!*
Giste ce releva, et essuya son dos. Il reprit la direction du lac. Au bout de trois pas, alors u'il approcher de la rive, des bruits anormaux lui fessait tendre l'oreille. Ce bruit arriva au dessus de lui. Quelque chose avait bougé dans cette arbre, il en était sur. Un pomme allait lui tombait dessus. D'une main rapide il l'attrapa. Son estomac grogner trop pour attendre Crystal. Mais ce bruit continua. Giste essaya de ce transformer en loup, mais il ni arriver pas. (évidemment) Quelle était cette chose au juste?

Giste semblait à nouveau dans ses pensées mais revient bien vite à lui, son ventre le rappelant lui aussi à l'ordre :

Giste : -Bonne idée! Mon estomac ne passe pas inaperçu lui non plus!

Crystal sourie à nouveau, ravi que sa diversion est fonctionné à merveille ... bon enfin elle se doutait bien que cela n'allait pas durer mais quelques instants de répit étaient toujours mieux que rien, vous ne trouvez pas ? Bon enfin, elle avait vraiment faim. Voyant Giste s'éloigner, elle lui emboîta le pas mais un éclair gris attira son regard ... Un magnifique lapin se reposait dans l'herbe grasse ... Elle fut bien contente de ne pouvoir se transformer en louve car elle aurait laissé aucune chance à la pauvre bête ... C'était franchement bizarre de vouloir être végétarienne alors qu'au fond de soi sommeil un instinct carnassier ... Elle resta un instinct sans bouger, regardant juste le rongeur manger sans se soucier de rien puis du bruit attira son attention ... Levant les yeux, elle scruta l'endroit où elle avait cru entendre du bruit ... Elle s'approcha doucement, silencieusement ... Sauf qu'elle rentra dans Giste avant de retomber au sol en étouffant un gémissement ... Faisant lamentablement échouer son plan pourtant simple, surprendre l'objet de ce vacarme ... Elle se releva et s'excusa avant de demander :

Crystal : Tu sais ce que c'est ?